Dans l'essai Brin de causette – éditions « nouvelle cité, Paris » - 1986, on apprend avec étonnement que sur Nantes, les WC publics pour femmes n'ont pas été mis en place avant les années 1980. L’action de Marion auprès du Révérend de la rue des Fraisiers a permis d'améliorer ce "confort tout relatif" des plus démunies.
Marion Cahour raconte (à la page 206) :
« Il [le Révérend] userait de son influence auprès des Pouvoirs Publics locaux pour obtenir des toilettes féminines dans la ville[1]. En ce temps-là, la municipalité était de gauche et le Conseil général de droite mais dans cette paroisse, il y avait des chrétiens influents des deux bords. »
[1] Les toilettes ont encore à voir le jour, de même que fontaines ou robinets d’eau potable sur la voie publique. Nos amis sont réduits à laper l’eau des urinoirs.
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